Quand Ricardo Montserrat lui a annoncé qu’il partait à Roubaix écrire un roman policier avec des chômeurs, Patrick Raynal, le directeur de la Série noire, l’a prévenu : « Si c’est bon, je ne prends pas. Si c’est génial, je verrai. » Quelques mois plus tard paraissait Ne crie pas, roman très noir, parfois insoutenable, mais prenant et poignant. Un peu plus tard sortait sur les écrans Sauve-moi, un film adapté du livre par le cinéaste Christian Vincent, qui avait participé à l’atelier.
Lire la suite de l’article original