Category: Cinéma
Nov 30
D’Alep à Paris, le peuple syrien raconté par le cinéma
149 minutes D’Alep à Paris, le peuple syrien raconté par le cinéma 30.11.2012 – 06:30 Depuis hier il semblerait qu’internet soit coupé en Syrie, les militants de l’opposition craignent que le régime plonge le pays dans l’obscurité pour mieux frapper. C’est dire l’importance des images et de leur circulation dans les conflits. Comme si faute …
Ott 06
Dialogue avec Nanni Moretti
Dialogue animé par Serge Toubiana. Traduction par Rosanna Gasbarro. “Nous sommes à la fin de l’été 1972, je sors du lycée et je dois décider de ce que je vais faire dans la vie. Je me souviens d’une conversation avec un ami qui me demande ce que je veux faire. En devenant tout rouge, je …
Lug 28
Dialogue avec Francesco Rosi
Cinéaste engagé, artiste en colère, Francesco Rosi (Lucky Luciano, Main basse sur la ville) est l’auteur d’une œuvre qui tout en dénonçant les tares politiques de l’Italie, n’a jamais délaissé les exigences de la fiction et du spectacle. Portrait du cinéaste Francesco …
Giu 15
Mille Deleuze 1/5 : Deleuze va au cinéma
« Je n’ai jamais pu donner tort aux gens. Quoi qu’ils fassent, je n’ai pas le goût de leur donner tort. » Avec Pierre Montebello. Le Journal des Nouveaux Chemins avec Jocelyn Benoist, à propos de ses Eléments de philosophie réaliste (Vrin). Réalisation : Bertrand Chaumeton Lecture des textes : Jérôme Kircher et Irène Jacob France culture
Mag 16
Jean Cocteau, jardinier d’atmosphère (1889-1963)
Ecrivain-poète, cinéaste-poète, dramaturge-poète, dessinateur et peintre-poète, poète drogué, poète manager de boxe, poète nerveux et dépressif, vieille gloire poétique, poète acharné au travail, poète profond, poète incompris, poète terriblement amoureux, poète moderne et même d’avant-garde, poète altruiste et plein d’empathie, poète un temps chrétien puis poète plus rien du tout, ainsi fut Jean Cocteau : un …
Apr 18
Clint Eastwood et la notion d’équilibre – Petit essai sur la grandeur d’un cinéaste de légende
A propos de l’Amour, John Huston fit dire à Sterling Hayden, le héros de son mémorable Quand la ville dort : « I don’t get it… I don’t get it… ». C’était une façon simple et néanmoins admirable de résumer la prodigieuse complexité d’un sentiment que chacun peut éprouver mais que nul ne peut expliquer rationnellement. Clint …